traiteur

Formation Traiteur

Offre de Formation Traiteur

Filtres

Filtrer

0 €

20000 €

Dans un rayon de

30km

10km

200km

Inférieur à 2 jours (14h)
2 jours à 2 semaines (14h à 70h)
2 semaines à 4 mois ( 70h à 560h)
Supérieur à 4 mois (supérieur à 560h)

Les formations professionnelles de traiteur

Qu’apprennent les formations professionnelles existantes de traiteur ?

Bien que la norme du métier impose d’être titulaire d’un CAP ou d’un BEP, il est possible de devenir traiteur sans diplôme en justifiant d’une expérience professionnelle de 3 ans minimum dans le domaine. Dans le cas où votre expérience ne serait pas assez solide, l’obtention d’un certificat d’aptitude professionnelle (CAP) charcutier-traiteur ou CAP cuisine, dispensé en 1 ou 2 ans selon votre niveau scolaire, vous permettra d’acquérir les bases essentielles de la charcuterie et les méthodes de commercialisation des produits préparés, en alternant périodes de cours en centre de formation pour adultes (CFA) et périodes de stage pratique en entreprise.

Le futur traiteur pourra faire le choix de poursuivre sa formation en un an en Mention Complémentaire (MC) employé traiteur ou en en 2 ans en Bac pro Boucher charcutier traiteur ou encore en obtenant le diplôme du Brevet Professionnel (BP) Boucher ou Charcutier-traiteur. Ces formations permettent au candidat d’aller plus loin en apprenant à gérer des projets complets autour de l’activité traiteur (gestion des stocks, contrôle qualité, commercialisation des produits finis, gestion événementielle, management du personnel de service...) et prétendre à des niveaux de salaire supérieurs.
Pour les candidats de niveau bac +2, les chambres de métiers et de l’artisanat (CMA) proposent un brevet des métiers (BM) traiteur-organisateur de réception préparant au métier de traiteur événementiel.

Les compétences nécessaires au traiteur

Quelles sont les compétences à mettre sur un CV pour postuler un emploi de traiteur ?

Devenir traiteur implique évidemment d’être passionné de gastronomie et de cuisine. Fin gastronome, ce professionnel du secteur alimentaire aime particulièrement élaborer des plats et partager ses créations avec les autres. Souvent au contact de clients, ses qualités relationnelles et son grand sens de l’écoute lui permettent de s’adapter aux attentes et de répondre à la demande.

Le traiteur est souvent chef d’entreprise. À ce titre, des compétences en gestion administrative et en management sont essentielles. Très organisé, il sait parfaitement orchestrer des événements d’ampleur qu’il s’agisse de mariages, de baptêmes, d’anniversaires, de séminaires d’entreprise, d’événements sportifs, etc. Polyvalent, il fait preuve d’une grande disponibilité et d’imagination pour assurer les prestations attendues par ses clients, tout en s’adaptant aux différents lieux et événements. Sa réactivité et son sens du service lui permettent d’honorer les commandes de ses clients dans le respect d’un budget défini et de délais parfois très courts.

Comme tous les métiers du secteur de la restauration, la profession de traiteur implique de respecter des règles d’hygiène et de sécurité très strictes et de maîtriser les normes propres au secteur alimentaire comme la chaîne du froid, la traçabilité des matières premières et les techniques de conservation et de conditionnement des produits.

Se former au métier de traiteur

Quels sont les dispositifs pour se former ? Comment financer sa formation ?

Dans le cadre d’un projet de reconversion vers le métier de traiteur, plusieurs options de financement d’une formation professionnelle telle que le CAP charcutier-traiteur, le CAP cuisine, le BP Boucher ou Charcutier-traiteur ou la MC employé traiteur notamment, sont envisageables selon la situation du demandeur.

Les professionnels ayant déjà une expérience solide dans le secteur pourront envisager une procédure de validation des acquis de l’expérience (VAE) afin d’obtenir le diplôme ou la certification souhaités. Les salariés ou anciens actifs ayant acquis des droits à la formation au cours de leur vie professionnelle pourront mobiliser leur compte personnel de formation (CPF) afin de financer tout ou partie de leur cursus.

Dans le cas des demandeurs d’emploi dont le projet de formation est en cohérence avec le projet professionnel, Pôle emploi pourra prendre en charge une partie ou la totalité de la formation choisie, en complément ou non du financement CPF. Le conseil régional peut également octroyer une aide individuelle à la formation (AIF) en fonction de la situation du demandeur et de la pertinence de son dossier.

Haut de page