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Formation Traducteur

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Supérieur à 4 mois (supérieur à 560h)

Les formations professionnelles de traducteur

Qu’apprennent les formations professionnelles existantes de traducteur ?

Plusieurs voies mènent aux métiers de la traduction, allant de niveau bac +3 à bac +5. Il est possible de suivre un parcours universitaire permettant d’obtenir :

  • Une licence en langues en 3 ans après le bac.
  • Un Master professionnel traduction éditoriale, économique et technique.
  • Un Master traduction-interprétation, industries de la langue et traduction spécialisée.
  • Un Master langues étrangères appliquées, spécialité traduction juridique et financière.

Le métier de traducteur-interprète peut également s’exercer sans diplôme, dès lors que le candidat possède des compétences solides en linguistique, le plus souvent en anglais. Pour compléter ses connaissances et envisager un salaire à la hauteur de son expérience, des formations professionnelles proposées les plus souvent par les établissements de traduction, permettent au candidat souhaitant devenir traducteur de se former aux technologies nécessaires à l’exercice du métier et à la gestion de projet telles que les logiciels de traduction (SDL Trados, MemoQ ou Wordfast par exemple) ou encore de se spécialiser dans des domaines précis et recherchés sur le marché.

Les compétences nécessaires au traducteur

Quelles sont les compétences à mettre sur un CV pour postuler un emploi de traducteur ?

Bien que les traductions en anglais soient les plus courantes, les demandes vers des langues parlées dans les pays en forte croissance ont tendance à augmenter, comme le chinois, le russe ou l’arabe. À ce titre, le traducteur-interprète doit idéalement avoir une connaissance approfondie de deux langues étrangères. La maîtrise d’une spécialité est également un atout indéniable.

Rigoureux et exigeant, le professionnel du langage met un point d’honneur à réaliser des traductions fluides et cohérentes au regard du texte d’origine. Pour cela, de très bonnes compétences rédactionnelles et une maîtrise parfaite de sa langue maternelle sont également indispensables. En parallèle, des compétences avérées en bureautique et une maîtrise des logiciels métiers de traduction sont essentielles pour être efficace et réactif.

Pour assurer des services de traduction de qualité, il doit faire preuve de curiosité et d’une bonne culture générale. Organisé, méthodique et polyvalent, un bon traducteur professionnel doit également faire preuve de capacités d’adaptation pour répondre aux différentes demandes de ses clients dans des délais imposés, souvent serrés.

Se former au métier de traducteur

Quels sont les dispositifs pour se former ? Comment financer sa formation ?

Que vous souhaitiez vous reconvertir dans les métiers de la traduction, devenir interprète ou monter en compétence dans ce domaine, plusieurs formations sont à votre disposition pour répondre à votre projet professionnel.

La plupart des écoles spécialisées proposent des formations de spécialisation ou de perfectionnement linguistique dans le cadre de la formation continue. Différents formats de formation, de courte ou longue durée, sont accessibles aux candidats ayant déjà des compétences linguistiques avérées. Ces filières s’adressent aux salariés, aux demandeurs d’emploi et aux professionnels indépendants désireux d’améliorer leur employabilité et de valoriser leur expérience professionnelle.

Ces formations étant certifiantes, elles sont éligibles à plusieurs solutions de financement selon le profil du candidat. Les salariés ayant un projet professionnel de reconversion pourront faire valoir leur expérience par le biais de la validation des acquis professionnels (VAE) ou faire appel à leur compte personnel de formation (CPF). Dans le cadre d’un projet de formation au sein d’une entreprise, les candidats pourront bénéficier d’un financement par l’Opérateur de Compétences (OPCO) de leur employeur.
Des aides Pôle Emploi et des dispositifs de financement de la région peuvent être accordés aux demandeurs d’emploi dont le projet de formation s’inscrit dans un projet professionnel préalablement validé.

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